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MADELEINE

 

Je suis née au sud de la France. Mon village est petit, sur le flanc d Pyrennés; il s appele Rennes-le-Château. Il fait soleil presque la plupart de l'année, cela permet d'être dehors à m'occuper des animaux et la culture des potagères. Nos journées nous les partagames entre les villageois; nous nous aidions pour mener à bien nos devoirs de paysans. Les samedis les charrues partaient très tot le matin pour un autre village appelé Couiza. Des beaux légumes, des fruits dont nous etions si fiers, de la viande fraiche, des eufs de poule et de canard. Cela accompagnait des fromages faits avec amour, dès nos vaches et chèvres. J'aimais beaucoup accompagner mes amis, car cela permettait de rencontrer du monde. Le voyage prenait plus d une heure et pendant cela, je regardais nos belles montagnes prendre de la hauteur au fur et amesure que le regard se portait vers le sud. Sur le chemin, d autres paysans nous rejoignaient avec leur denres fraiches qui nous rappelaient l'amour que la terre a pour nous. L'arrivée à Couiza etais mouvementée; tout le monde s'affairait à trouver une place pour mieux presenter s'est produits. Les gens de plus loin marchandaient des objets amènes d'Espagne et certains d'Italie. J'aimais bien leurs façons de parler; les Italiens étaient joilleux et très bons en affaires. Les Espagnols plus francs, adoraient faire des blagues et, avec ça, leurs produits partaient très vite. Des enfants des fois venaient avec eux; un jour j en voudrait, disais-je á mon intérieur.

 

Nous restions jusqu á la moitié de l'après-midi; nos sous nous les partageâmes sur le chemin car les potagers étaient comunauters. Ainsi toutes les familles récupéraient leurs efforts et la vie etais plus calme. Le dimanche matin nous nous metions d'accord pour le travail de la semaine; les poules et canards demandaient beaucoup de travail car leurs enclos devaient être nettoyés souvent. Les vaches qui s'alimentaient sur les prairies dehors, produisaient un lait délicieux. Une partie du lait nous le laisions pour faire du beurre; des tartes avec des fruits édulcorent au soleil, sortaient des fours que nous-mêmes avions construits avec des briques cuites á Couiza. Des fois nous les vendions avec les autres produits au marché; sinon nous les laisions pour nous, notre gourmandise etais notre petit peché.

 

La semaine d après les taches de toutes nos affaires ses completarent dans l'ordre prévu. Nous intégrâmes des cochons dans les affaires car leurs viandes cuites avec la façon des anciens plesaient beaucoup à Couiza. Le petit cochon de lait au four nous pouvions le faire nous-mêmes car le four pour les tartes le permaitais.  Avec d autres paysans nous décidâmes d'agrandir les potagers; l'idée de travailler à plusieurs sur le même domaine faisait plaisir á tous car l'effort que cela demandait, des fois etais fatigant. Quand l'ete arrivait, nous nous préparions pour aller travailler un peu plus loin, lá ou des terres cultivées étaient plus grandes. Des travailleurs étaient appréciés lorsque la terre avait produit des belles quantités de fruits et des tomates. Les mures nous les recollections sur les chemins car ce fruit poussaient partout, lá ou personne ne se soucias de rien. Nous nous piquions les doigts, mais cela ne nous dérangeait pas; les tartes étaient si bonnes et l'après-midi nous les mangions avec des jus frais.

 

Sur les terres ajoutées grace aux autres paysans, des arbres fruitiers furent plantés, ainsi que des coins ou planter des tomates. Plusieurs varieties de ce fruit-légume nous permettaient de faire des conserves en flacons de verre, ainsi, l'hiver nous pouvions faire des plats en sauce; accompagnés dès nos beaux animaux, faits grandir sur nos champs, nos beaux champs si chéris par notre beau soleil du sud. . Dans mes reves la nuit, j etais devant ce beau monsieur a peau mate. Il etais d un endriot tres, tres lointain; je savais que c etaient des reves, mais sa prescence etais tres puissante. Avec les mois passant je me suis accutumé a ses visites; il me le disais: ce n etais pas des vsites, mais des rencontres. Il m a accompagné depuis mon enfance, mais je ne pouvais pas m en souvenir de cela. Le moment de nous rencontrer s approachais car sa presence etais de plus en plus forte. Il s appelais Thonata; et venais mais, d abord, il devais faire la traversée de la mediterranée. Il venais avec sa mere et ses  Freres. Il y avais aussi des gens qui l appelais ses compagnons. Il savais ou j habitáis; il visualisais mon pays et aimais nos coutumes. Entre son pays et le mien, le soleil etais pareil. J ai continué a travailler avec mes amis; le soleil etant lá, á Couiza les visiteurs etaient plus nombreu. Nous devions preparer plus de produits et achanllander plus de charues. A Ce moment la nous partimes plus nombreux; les conserves, nous les arrongames avec soin pour ne pas les casser sur le chemin. Dans des bocaux nous preparames des morceaux de cochon avec les tomattes et des herbes de province pour les render plus gouteux. Cette fois ci nous vimes des gitans; ils offraient des lectures des cartes et tout un tas de choses invraissamblables. Et puis, les italiens et les espagnoles apparurent a nouveau. Nous vendimes nos delitieux produits et en rentrant chez nous, repetimes la distribution des sous. Les gens etaient contents de voir autant de pieces pour les mettre dans leurs poches. Quelques uns avaient acheté des objets des italiens; Mais les italiens avaient nos flacons avec du bon cochon a nous. C etais un troc donc. Tout le monde avais trouve son conte; c etais merveilleux.

Cette fois ci, il beau brain m est apparu devant moi. Il avais attendu que je je tourne alorsque je cherchais quelque chose derriere moi. Je lui ai j'ai demandé comment il avais fait pour etre si vite devant ma prescence; il m à repondu : je suis lá sans etre vraiment; Lá ou tu me vois, je suis dans un espace que j appelerai ton espace personnel. les autres ne pourraient pas me voir; Nous compartons un espace á nous deux... C est le maitre qui le veut ainsi. C est lui qui nous unisse dans la merveilleuse unité de son amour. Tu est la´par sa volonté et je suis avec toi parce que c est la destiné du monde. Je sarais lá et tu ne le sauras pas. Juste, tu me veras, et la forcé de l univers superieur se deverserá sur sa creation. C est simple, nous serons enssemble et nous ferons du chemin, accopagnés des ma famille et mes compagnons. Nous avons' des choses a faire. Tu veras, cela sera edifient pour tous. 

 

J e suis restée avec pleins de questions dans mon esprit. Je commence a rever de sa rencontre. Serais t il comme dans mes reves?. Je ne suis pas a delirer?. Mes amis me convoquarent pour le travail du pottager. Ma mere me voulais un peu á la maison. Je ne voulais pas lui parler de thonatan. Elle ne pourrais pas comprendre la facón dont j ai su de lui. J ai attendu le moment de sa rencontré pour que cela soit un peu normal. Tu sais mamon, j ai rencontré un Monsieur qui viens de loin.... et que patati et que patata.... Il fallais attendre. Elle a fini par comprendre que les autre avaient besoin de moi. Les poules et les cochons et les lapains demandaient encore de la labeur. Les gains nous permmetaient d envisager de faire d autres choses; faire travailler d autres personnes et ammener leurs produits pour les aider?. J avais pleins choses dans ma tete, et lui, il etais lá. L attente me planga dans quelque chose d ireel. C etais deja ireel nos frequentations. Comment expliquer celá? Je me suis faite toute petite et j ai attendu; le temps dira ce qu il a dire!. Le samedi suivant, nous avons refait la meme programation pour ammener des belles choses a Couiza; l ete etais encore lá. Nous avons fait comme d habitude; les memes mouvements des gens pour trouver la meilleur place. Nous finimes pour nous arranger pour etre bien places. La matinée nous a permis de vendre presque tout; seulement quelque eufs restaient sur le presentoir. 

 

La place où nous participions à ce marché etais presque vide; de loin j'ai vu un groupe de gens s'approcher vers nous. Ils étaient à peu pres 12 personnes; lorsqu'ils etaint pres, j'ai su que c etaien eux. Sa mere me regarda avec un sourire et un mouvement de la tete; C etais sa facón de me salouer. Lui etais un peu derrière, finissant le groupe qui s etais allongé. Il etais plus impressionnant que dans nos frequentations. C etais le plus grand; habillé simplement comme tous ses compagnons. Il m'occupa de faire les présentations; d'abord fu sa famille. Trois frères, sa mere Marie et sept amis qui edaient dans son travail; ils étaient des constructeurs. Thonata etais le chef; ils batissaient des constructions en bois et en pierre. Nous partîmes vers Rennes-le-Château ensemble dans les charrues; Le voyage s'est passé vite car tous discutaient. Nous leur montrâmes le potager et le reste du domaine; Ils ont trouvé très joli et bien entretenu. Il etais la fin de l'après-midi, nous et les autres voisins nous arrangeâmes pour l'habitation dès nos amis. Thonata et sa mere restaurent ensemble dans une maison voisine; les frères ailleurs chez d autres voisins. Les compagnos partirent chez la cure; il disposait d'espace dans l'église. Leur voyage avait été fatigant; une bonne nuit de sommeil leur ferait du bien. 

 

Je suis resté à parler à ma mere; Je l'aurais dit que c etais des gens très cultivés, des personnes d'orient, plus bas de la Méditerranée. Ils fessaient des choses très intéressantes comme bâtir des maisons, des églises, des granges, etc. leur métier leur permettait de voyager et c'est ainsi qu'ils arrivèrent dans notre région. Ils voulaient travailler lá et herchaient un endroit ou séjourner pendant leurs installations. Je suis allé me coucher et ma mere aussi; ca a été bien aujourd'hui me disais-je dans mon lit. Je l'ai eu dans mon rêve à nouveau; Il etais content de la rencontre. Sa mere m'avais trouvée jolie, elle savait que son fils voulait rester avec moi. Le matin, , Je les ai  trouvé tous autour de lui; ils préparaient leurs journées et voulaient savoir si nous avions besoin d'aide dans les champs. Je trouvais ça bien car cela permettrait de faire connaissance entre eux et nous. La mere de Thonata est resté avec moi pour leur préparer à manger; je voulais leur montrer ce que nous fessions ici. Nous préparâmes le four pour cuisine des bons canards et quelques poulets.Des salades améliorées avec des tomates et des oignons; le vigaigre le fessions-nous avec les bons vins que le soleil de notre coin mettait autant d'amour pour les faire gouteux, avec plein d'arômes et couleurs séductrices. Le vinaigrier l'avait acheté à Cuoiza il y a quelque temps; dedans avait une mere que nous alimentions souvent; lorsque nous festions quelque chose d'important. 

Nous ammenames les met sur les champs car nous trouvions cela plus festif; nous etions à peu près une vinghtene . Les animaux grillés furent mangés très vite; les salades colorées et parfumées à lail et aux oignons partirent aussi. À la fin, nous sortîmes des tartes et les mangeâmes accompagnées de sydre. La semaine fu très productive; non seulement les champs et le potager prirent plus d'espace lorsque les mauves herbes et les haies furent nettoyées. Les rapports entre tous se solidifièrent. Ma mere apprit à connaitre Thonata et cela m'a permis de lui parler vouloir travailler pour lui; ainsi nous pouvions être ensemble dorénavant. Nous avons parlé avec ma mere du groupe et j e lui est expliqué qu'ils se réunissaient avec les personnes qu'arrivaient à les connaitre, pour de discussions d'ordre spirituelle mais en dehors de la religion. Que cette connaissance permettait de comprendre mieux sa place dans le contexte de la vie.

 

Le groupe commnca à travailler dans des villages aux alentours de Rennes; des couvertures de maisons et d étables leur permit de montrer leur savoir-faire. Cela s'est passé comme ça pendant six mois. Nous arrivions au mois de décembre; les haies et bosquet avaient perdu leurs feuillages. Cela fessaiet triste mais les compagnons étaient inquiètes surtout pour le froid. Étant dans les villages où ils travallerent, d autres personnes s intereserent à eux, et c'est ainsi que dumes partir cette fois-ci plus loin, rendant la possibilité de venir voir ma mere, plus difficile. . Nous sommes partis à quelque 50 kilomètres de Rennes; les ouvrages étaient cette fois-ci plus conséquents. Des maisons avec des structures en bois mais le perement etais en terre mallangée à de la paille; cela permettait de garder le chau plus longtemps à l'intérieur. Mon travail pour le groupe etais d'aider la mere de Thonata à préparer la nourriture de l'équipe; Nous ammnames des baucaux avec des aliments prêts à rechauffer. 

 

Sur place, l'équipe dut se séparer car il y avait deux ouvrages en même temps; avec Marie nous dumes séparer la cuisine en deux parties pour la distribution. Des bonnes soupes bien chargées de légumes et pommes de terre pour récupérer les énergies perdues; Le pain etais bon et le beurre que nous préparions à la maison fu très bien apprécié. Ils disaient que la nourriture à nous etais très variée et gouteuse. Vers le mois d'avril les maisons étaient très avancées; les toitures des deux maisons etaient posées complètement. Le travail de la terre devait attendre pourque les froids n abimé les parements à cause du froid. Avant le mois de mai, je suis allé voir ma mere a Rennes pour la tenir au courant des choses; lá je lui ai parlé de mon amour pour lui. Elle a dit que cela lui samblais normale et que son carácter lui plaisait beaucoup. Nous pensions nous marier et continuer ensemble la progression vers le nord au fur eta mesure que le travail le permettait. 

 

Nous nous sommes mariés dans une bourgade appellee Castelaudary; c etais plus grand que les autres agglomérations. Les maisons que nous construitsames n'étaient pas loin; le mois de mai amena des floraisons par tout. C etais un dimanche dans une petite église qui se trouvait au nord de la rivière, à quelques cinq minutes à pied; après la ceremonia, nous partîmes nous promener tous et trouvames un joli bosquet ou fêter simplement notre union. Les amis étaient lá; les paniers remplis de bonnes choses pour le repas de midi. Nous nous mimes en cercle et Thonata ramassa quelques fleurs pour les mettre à côté des paniers qui se trouvaient au centre. Les parfume des fleurs en les délicieuses preparations de Marie et moi, mettaient nos ventres en fête; du vin de la région et du fromage fait à Rennes par ma mere mirent nos palais en efervecense.Ma mere etais venue avec mon frère; il voulait un jour s'unir à nous pour apprendre le métier. Vers 4 heures de l'après-midi, nous quitames Castelnaudary avec nos paniers vides et nos ventres pleins de Félicité. Nous Etions mari et femme maintenant; Ma mere et Marie se mirent à parler mais nous ne pûmes pas savoir le contenu de ses dires. La nuit tombait, les oiseaux etaien encore lá à repeter délicieusement leurs meilleurs voltiges, dans ce mois de mai, où toutes les fleurs ne pouvaient colorer aussi intensément que nos coeurs les pétales qui tombaient à l'intérieur dès nos poitrines.

 

Mon frère arriva le mois suivant; son début dans le travail fu de travailler la terre en compagnie de gens qui s'y connaissait. La chaleur commençait à être lá et la paille ramassée l'année précédente attendait à l'intérieur des maisons. Le squelette des maisons commença à disparaitre; la couleur marron remplissait les espaces vides ou une série des morceaux fins etaien incrustés entre les pièces plus grosses pour faire le support de la glaisse molle. Cela ses fésais en plusieurs couches; la résistance de cette matière devait tenir dans le temps: l'odeur etais agréable, le son à l'intérieur des maisons avait une autre nature. Thonata pratiquait quelque chose qui profitait des énergies de la terre; il disait que la pensée pouvais faire bouger cela et les laisser ou on voulait pour toujours. Des couches plus fines et cremeuses se mettaient à la fin pour recevoir de la peinture à base de chaux. 

 

L'ete etais lá; une fois les maisons furent terminées, nous retournâmes à Rennes pour revoir ma mere. Le prochain déplacement nous mènerais beaucoup plus loin vers le nord. Nous y sommes resté deux jours; le potager et le champ étaient bien entretenus et productifs. Ma mere revue son fils un peu changé, mais elle etais contente de le voir accumuler des expériences car il en parlait très facilement quand le moment etais propice. Nous fumes revoir le curé pour le remercier encore pour son amabilité lors de l'arrivée des Orientaux. J'ai dit à m amère que l'année prochaine nous viendrions la voir avec mon frère, même si cela laissait mon marier un peu seul quelques jours. Nous repartîmes rejoindre l'équipe; le voyage nous gatiga un peu. Les maisons etaien presque terminées; l extérieur devait être nettoyé ainsi que le matériel de travail á arranger. Nous nous mime a parlé de ce qui allait suivre. D autres constructions nous attendaient plus au nord; le trajet allait être long, très long. 

 

Je suis partie avec mon époux, mon frère, ma belle mere Marie et le reste du groupe. Nous devions nous arrêter beaucoup car le voyage nous mènerait vers une belle région où il y avait la plus grande concentration de gens dans le pays. Notre voyage nous mena sur des très belles régions; Toulouse, Cahors, Limoges, Argenton, Orléans: Nous fimes un grand arrêt à Orléans; C etais la dernière étape avant d'arriver à destination. Trois jours après nous nous mimes sur la route; Il faisait frais car l'hiver s etais déjà installé. Avec Thonata nous nous regardions en pensant à tout ce qui nous avais réunis; sa longue peregrination jusqu á moi; la grande famille que nous avions constituée. Et ensemble continuames la route, heureux, de ce que mon marie disais sur le grand Maître: "la vie c'est l'imprevisible; je suis lá, dans vos mains qui sont les papillons qui volent des miennes vers la construction du nouveau mondent; les vôtres."

 

 Miyoceleste   -   25 Decembre 2017

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